mardi 15 juin 2010

Generation Y let down by schools and managers

Generation Y let down by schools and managers

The recession is not the only disadvantage facing young people entering or trying to get ahead in the jobs' market. They are also being badly let down by the school system and by entrenched negative stereotypes within the media and the boardroom.

According to new research from the UK's Ashridge Business School, Generation Y school-leavers and workers, or those aged 27 and under, not only have the worst economic conditions in a generation to deal with but also media hype about them being spoilt, work-shy and demanding, negative preconceptions from employers and a school system that is failing to prepare them properly for the world of work.

Its poll of 133 people within 59 companies found that, while Generation Y workers were indeed challenging and demanding, they were not any more so than previous generations were or had been.

dimanche 9 mai 2010

Qu'est-qui motive vraiment les employés?



Publié le 08 mai 2010 à 05h00 | Mis à jour le 08 mai 2010 à 05h00


Pour Andrée Mercier, associée principale, gestion des talents,... (Photo François Roy, La Presse)

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Photo François Roy, La Presse

Pour Andrée Mercier, associée principale, gestion des talents, chez Hewitt & Associés, il faut motiver les employés, mais aussi les mobiliser.

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Caroline Rodgers, collaboration spéciale

La Presse

La motivation au travail se décline en plusieurs temps. Mais que doit-on offrir à ses employés pour la garder? Réponses de trois experts.

Pour Florent Francoeur, président de l'Ordre des conseillers en ressources humaines du Québec, le facteur premier de la motivation de tout employé est la satisfaction du travail accompli. «Beaucoup d'employeurs ont tendance à penser que l'argent est le premier facteur de motivation, mais c'est plutôt la satisfaction, dit-il. Quand l'employé sait clairement ce que l'on attend de lui, qu'il a les outils pour bien faire son travail et qu'il a la bonne charge de travail, c'est-à-dire que celle-ci correspond à ses capacités, dans un bon climat, il est généralement satisfait, donc motivé.»

La recette magique pour motiver les employés n'existe pas, car elle dépend d'un ensemble de facteurs complexes.

«Il n'y a pas de panacée, mais on s'entend pour dire que la motivation a un lien direct avec le sentiment d'auto-détermination, c'est-à-dire le sentiment d'avoir un certain contrôle sur son travail», dit Éric Gosselin, professeur titulaire en psychologie du travail et des organisations au Département de relations industrielles de l'Université du Québec en Outaouais.

Cette auto-détermination est reliée à la satisfaction de trois besoins: le besoin de compétence, le besoin d'autonomie, et le besoin d'affiliation ou d'appartenance. «Plus les gens ont l'impression que ces besoins sont comblés, plus ils ont l'impression qu'il s'autodéterminent. Autrement dit, plus l'individu a l'impression qu'on utilise bien ses compétences, qu'il est autonome, qu'il a des responsabilités et le sentiment qu'il a du pouvoir pour changer les choses, en plus d'un sentiment d'appartenance à une équipe de travail, plus il aura un sentiment d'autodétermination et une motivation intrinsèque.»

Car attention: il faut faire la distinction entre les facteurs de motivation extérieurs, comme le salaire, les horaires et l'ensemble des conditions de travail, et la motivation intrinsèque, celle qui part de l'individu et l'amène à se dépasser. «De plus en plus, on cherche à susciter la motivation intrinsèque chez les employés, afin de les amener à aller plus loin, à en faire plus que ce qui est demandé», dit Éric Gosselin.

Une personne 100% démotivée, cela n'existe pas, à moins d'avoir des problèmes psychologiques, dit le chercheur. «Si quelqu'un n'est pas motivé au travail, cela ne veut pas dire qu'il n'est motivé nulle part, dit-il. Il va tout simplement aller chercher la satisfaction de ces trois besoins ailleurs qu'au travail, dans sa vie familiale ou des activités qui le passionnent. C'est là qu'on voit ces gens s'investir dans toutes sortes de projets en dehors du travail. Il y a toujours une flamme qui brûle quelque part, car l'être humain est un être de motivation.»

Le défi pour les employeurs est donc d'amener les employés à trouver une motivation intrinsèque qui les pousse à s'investir. «Ce qu'on veut, comme gestionnaire, c'est que les trois besoins soient comblés pour que la motivation existe dans l'organisation afin d'amener des comportements productifs et atteindre les objectifs de l'entreprise. Si on tente de travailler à répondre à ces trois besoins, on risque de voir l'employé s'investir dans son travail.»

Au-delà de la motivation

Dans un contexte de rareté des talents où la rétention des employés devient un enjeu de taille, favoriser la motivation ne suffit plus, croit Andrée Mercier, associée principale, gestion des talents, chez Hewitt&Associés. Il faut non seulement motiver les employés, mais aussi les mobiliser. La distinction entre les deux est subtile, mais peut faire une différence, selon elle.

«La motivation et la mobilisation vont dans le même sens, dit-elle. Dans les deux cas, on parle de quelqu'un qui a envie de faire ce qu'on lui demande et qui a le goût de travailler. Mais si la personne motivée a envie de faire un travail parce que cela en vaut la peine, celle qui est véritablement mobilisée y met davantage son coeur, elle a un fort sentiment d'appartenance à l'organisation et elle a l'intention de s'y investir à long terme. La mobilisation entraîne davantage la loyauté et la pérennité, elle joue sur le long terme.»

Trois éléments sont essentiels à cette mobilisation. «Le premier est de focaliser les gens sur les objectifs voulus, et que ceux-ci soient réalistes et atteignables, dit Mme Mercier. Ensuite, la reconnaissance, qui peut s'exprimer de différentes façons. Et finalement, le défi et la possibilité d'évoluer dans l'organisation tout en développant ses compétences.»

vendredi 26 février 2010

Make Meetings More Productive by Arguing - Meetings - Lifehacker

Make Meetings More Productive by Arguing - Meetings - Lifehacker: "Make Meetings More Productive by Arguing

It's no secret that most people hate meetings—and with good reason. Meetings are often terribly ineffective and a huge waste of everyone's time. Reclaim a meeting with a good argument.

Over at the productivity and business blog Productivity501 they've put together a list of tips to make meetings more efficient. Our favorite? Argumentation is central to a good meeting. They elaborate:

Use meetings to argue: This sounds bad, but really, this is what meetings are effective for. Meetings let you get people together and work through differences in person. You can pit various ideas against each other and come up with the best solutions. If you don't have any arguing going on in your meetings, then you are probably having meetings for the wrong reasons.

You have to learn to argue fair. You are discussing ideas, not personally attacking people. It may take a bit to get a team to open up to the point where they can passionately express their views, but that is what you need for meetings to really become productive.

One common problem is having someone at a meeting that is so important that no one will disagree with him/her. If no one is going to disagree, you might as well just let that person make all the decisions. I had a graphic designer working for me once who would never disagree with me when we were having meetings. I finally asked her about this. She said she didn't want to argue with her boss. I explained that I was paying her to disagree with me! If I didn't want her opinion, I wouldn't have hired her in the first place.

If you're not hashing out ideas, arguing your position for some new change, product, project, or procedure, the meeting is essentially just a report that you could read at your leisure. Wouldn't you rather skim over an email with meeting notes in it and skip the Powerpoint presentation all together? Check out the full list at the link below for more great meeting-saving tips.
9 Tips for Efficient Meetings [Producity501]"

mercredi 24 février 2010

CSQ | Négociations dans le secteur public en Montérégie - Les offres patronales sont insatisfaisantes

CSQ | Négociations dans le secteur public en Montérégie - Les offres patronales sont insatisfaisantes: "Négociations dans le secteur public en Montérégie - Les offres patronales sont insatisfaisantes

SOREL, QC, le 24 févr. /CNW Telbec/ - Les offres déposées par le gouvernement du Québec dans le cadre de la négociation des conventions collectives du secteur public sont inacceptables à tous les niveaux. C'est le message qu'a porté aujourd'hui la 1re vice-présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Mme Louise Chabot, au cours d'un passage à Sorel effectué dans le cadre d'une tournée du Québec.

Mme Chabot était accompagnée pour l'occasion de Mme Sonia Éthier, présidente du Syndicat de l'enseignement du Bas-Richelieu, M. Denis Cloutier, président du Syndicat des professionnelles et professionnels des commissions scolaires de Richelieu-Yamaska, M. Serge Péloquin, président du Syndicat des enseignantes et enseignants du Cégep de Sorel-Tracy.

Des offres insatisfaisantes pour les employés de l'État... et pour la
population"

jeudi 11 février 2010

Détresse psychologique - Les enseignants montrent la réforme du doigt | Le Devoir

Détresse psychologique - Les enseignants montrent la réforme du doigt | Le Devoir: "*

Détresse psychologique - Les enseignants montrent la réforme du doigt
Le quart des professeurs songent à quitter leurs classes d'ici cinq ans
Lisa-Marie Gervais 11 février 2010 Éducation
Une étude de l'École nationale d'administration publique (ÉNAP) sur la santé mentale des professeurs parvient à des constats inquiétants: près d'un enseignant sur quatre songe à quitter la profession d'ici 5 ans et environ 20 % des professeurs qualifient leur santé mentale de moyenne ou médiocre, contre 8 % dans la population active. Craintes, peur, nervosité, énergie à la baisse... 60 % des enseignants présentent des symptômes d'épuisement professionnel au moins une fois par mois et 20 % en font l'expérience au moins une fois par semaine."

Éducation : La détresse des enseignants | Société | Radio-Canada.ca

Éducation : La détresse des enseignants | Société | Radio-Canada.ca: "La détresse des enseignants

Mise à jour le mercredi 10 février 2010 à 15 h 02
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École

Classe (archives)

Au Québec, près de la moitié des enseignants (47 %) vivent dans l'anxiété. C'est du moins ce qui ressort d'une recherche effectuée par l'École nationale d'administration publique (ENAP) auprès du personnel enseignant membre de la Fédération autonome de l'enseignement (FAE).

Parmi les principaux facteurs qui nuisent à la santé mentale des enseignants, on trouve :

* la charge élevée de travail;
* les difficultés liées au maintien de la discipline en classe;
* les difficultés relationnelles avec les directions.

D'après l'étude menée auprès de 2400 enseignants, 73,9 % rapportent que leur besoin d'autonomie n'est pas satisfait au travail. De plus, 60 % des répondants présentent des symptômes d'épuisement professionnel au moins une fois par mois. Plus de 20 % en font l'expérience au moins une fois par semaine.

Le manque de temps, le manque de ressources et l'absence de reconnaissance limitent grandement l'autonomie des profs. La détresse psychologique qui souvent en découle les conduit inévitablement vers l'épuisement professionnel et en incite plusieurs à quitter l'enseignement.

— Pierre St-Germain, président de la Fédération autonome de l'enseignement"